Dans leur album « Random Access Memories », Giovanni Giorgio s’exprime sur un fond musical sur la piste 3 « Giorgio by Moroder ».
Deux passages m’ont particulièrement plus.
Le premier traite des limites que l’on se fixe soi-même et ce qu’il est possible d’atteindre si nous nous enlevons ces limites. C’est ce que Giorgio a vécu dans son expérience avec la musique. C’est ce que j’ai ressenti lorsque j’ai pratiqué la magie de close-up: parce que les magiciens n’ont pas le même cadre que les spectateurs, et que nous jouons en dehors du cadre des spectateurs, la magie se produit! Les croyances limitantes que nous nous fixons sont aussi très nombreuses dans la vie quotidienne. En levant ces croyances, on réalise des choses que l’on ne soupçonnait pas être possible.
Le deuxième est ce moment où il utilise un synthétiseur pour générer un « clic » qui sera répété de manière périodique. Cette petite trouvaille, deviendra un fondement pour la musique électronique à suivre. Un clic « déclic », le moment où tous bascule et subitement un univers de possibles s’ouvre devant soi!
Donna Summer
Giorgio participera au tube planétaire de Sonna Summer en 1975 : « Love to love you baby »